Une reprise généreuse et un final en fanfare, pour le spectacle fondateur du fameux duo. Dans une version augmentée pour chœurs d’enfants et Orchestre d’Harmonie.
C’était leur premier spectacle en duo, en 2014, et il reste en mémoire comme un petit moment de fantaisie, de vie, de créativité. Tony Melvil et Usmar, le premier nourri au violon classique, l’autre à l’électro et aux machines en tout genre, se sont rencontrés là, avec Quand je serai petit. Une série de chansons délicates, parfois graves, parfois absurdes, souvent légères, qui interrogent l’adulte qu’ils sont devenus, l’enfant qu’ils étaient, et posent un regard tendre sur les promesses qu’ils s’étaient faites à eux-mêmes.
Aujourd’hui, cinq ans et presque 200 représentations plus tard, l’aventure continue pour ce spectacle salué par un coup de cœur de l’Académie Charles Cros et un prix Adami. À l’initiative du Grand Bleu, dont Tony Melvil est artiste associé, les deux compères sillonneront la région tout l’automne avant un final en forme de feu d’artifice. Version augmentée et participative de leur spectacle fondateur, Terminus Sébastopol rassemblera sur scène des chœurs d’enfants rencontrés sur la tournée, rejoints par l’Orchestre d’Harmonie de Lille-Fives.
No comments